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Pour Tuomas KORKIALA et Tero VÄHÄHYYPPÄ, soudeurs d'éléments de charpente en acier, Best-Hall est comme une grande famille au sein de laquelle les employés, leurs conditions de travail et leurs outils sont pris en charge à 100 %.
Les deux partenaires soudeurs, Tuomas Korkiala et Tero Vähähyyppä, sont restés chez Best-Hall grâce aux projets intéressants et à l'environnement professionnel exceptionnel.
« Rares sont les ateliers mécanique aussi propres et aussi bien équipés qu'ici » dit-il, après 20 ans de carrière dans l'entreprise.
Objectif confirmé lors du stage
Tero Vähähyyppä est resté chez Best-Hall directement après son stage de formation professionnelle. Son expérience était si unique que le jeune métallurgiste a su immédiatement qu'il voulait appartenir à cette équipe.
« Diplôme frais dans la main, je n'avais pas besoin de prouver ce que je savais faire, mes collègues m'ont accepté et m'ont fait confiance tout de suite.
Tuomas Korkiala, mécanicien diplômé, est parti ailleurs après son stage, pour quelque temps. Jusqu'au jour où il s'est rappelé la bonne ambiance et l'esprit d'équipe de Best-Hall.
« J'apprécie la flexibilité et notre manière de tout arranger. Si j'ai besoin de quelques jours de congé ou d'une nouvelle combinaison de travail, c'est toujours faisable.
Priorité à la sécurité au travail et à la main d'œuvre
Les soudeurs qui manipulent les éléments de charpente en acier effectuent un travail lourd et remercient surtout Best-Hall d'avoir misé sur la sécurité au travail. La santé du personnel est manifestement importante.
« Ces dernières années par exemple, on a multiplié les grues afin d'alléger notre travail. On développe sans cesse de nouveaux outils facilitant le travail. »
On apprécie également l'ambiance de soutien et d'entraide réciproque.
« Si quelqu'un invente une nouvelle façon de faire plus simple, l'idée est immédiatement transmise. » On prend soin les uns des autres, en rappelant l'usage d'outils ou appareils, si quelqu'un semble avoir oublié.
« De temps en temps, on se surprend à réfléchir combien on a de la chance de travailler ici », disent-ils.
